Par une ordonnance rendue ce jour, le Tribunal administratif de Montpellier a rejeté le recours formé par La Ligue des Droits de l’homme (LDH) contre le Pessebre exposé Place de La Loge par la Municipalité.
Une nouvelle fois, la Ville a été amenée à devoir défendre nos traditions, nos valeurs et notre identité. C’est donc avec conviction et sérénité que nous avons défendu notre Pessebre, qui fait partie de l’histoire de Perpignan et que des milliers de personnes sont ravies de découvrir chaque année.
Comme l’année passée, le Tribunal administratif de Montpellier a rejeté la demande de ceux qui voudraient nous empêcher de faire découvrir et vivre nos traditions séculaires.
La Municipalité se félicite évidemment de cette décision, parce qu’elle écarte les prétentions de celles et ceux dont l’unique objectif est d’imposer leur pensée et empêcher l’expression de notre histoire, nos traditions et nos cultures au seul prétexte qu’ils les jugent illégitimes.
La LDH est donc invitée, une nouvelle fois, à mieux considérer le sens de sa mission. Une mission qui ne peut se résumer à contester, avec acharnement, les droits de ceux avec lesquels ses représentants ne sont pas d’accord.
En ce qui nous concerne, ce dont nous sommes certains, c’est qu’il existe dans le monde actuel des sujets de respect des droits et libertés beaucoup plus importants que celui qui consiste à vouloir priver les Perpignanais de leur Pessebre.